mercredi 25 décembre 2013

Les entreprises préférées des étudiants en 2013

Chaque année, Universum, cabinet spécialisé dans la gestion de la marque employeur, révèle les résultats de son enquête auprès des étudiants des écoles de commerces, des écoles d'ingénieurs et des universités les plus prestigieuses. Nous nous sommes plus particulièrement intéressés aux entreprises agroalimentaires qui font partie du classement 2013 dans le monde (M 50 premières marques employeur), en Europe (E 50 premières) et en France (F les 129 premières marques). Il s'agit du classement des étudiants des écoles de commerce.

Voici les résultats des entreprises agroalimentaires ou des entreprises avec des activités dans le secteur alimentaire.


Coca-Cola Co. est la première de la liste :  9 M - 4 E - 8 F
Procter & Gamble : 10 M - 10 E - 25 F
LVMH : 19 M - 22 E - 1 F
Unilever : 21 M - 7 E - 18 F
Nestlé : 25 M - 12 E - 7 F
Pepsico : 31 M - 62 F
Heineken : 39 M - 34 E - 54 F
Danone : 31 E - 6 F
Mars : 37 E - 64 F
Mondelez international : 14 F
Ferrero : 30 F
Pernod Ricard : 33 F
Groupe Bel : 93 F
Brasseries Kronenbourg : 96 F

La distribution est représentée par :
Carrefour : 71 F
Auchan : 79 F

Une mention spéciale pour le groupe SEB qui fait aussi partie de la famille élargie de l'agroalimentaire : 91 F ; et pour le groupe Accor : 29 F.







samedi 21 décembre 2013

Ferrero ouvre son Bar à Nutella à Chicago !

Buzz réussi pour Ferrero et sa célèbre pâte à tartiner…. Depuis le 4 Décembre, les habitants de Chicago ont pu découvrir un « Bar à Nutella » au sein du complexe « Eataly », chaîne de produits alimentaires italiens. L’ensemble du menu propose pizzas, crostinis, crêpes….tous autour de Nutella évidemment !


Un beau moyen pour la plus connue des marques du Groupe Ferrero de faire parler d’elle, puisque l’information s’est rapidement diffusée partout, notamment grâce aux réseaux sociaux, y compris jusqu’à l’hexagone. Malheureusement pour les Français, Ferrero n’a pas l’intention pour le moment de développer le concept en France.

Ce Bar à Nutella permets à Ferrero de préserver voire d’accentuer l’unicité de la marque Nutella, mais surtout de continuer à la mystifier, ce qui est probablement une bonne idée après les scandales d’Huile de Palme auxquels la marque a dû faire face il y’a peu. Notons par ailleurs la belle communication (« Nos ingrédients, parlons-en ») que Nutella a enclenché suite au scandale, avec un spot publicitaire qui affiche une transparence sur la conception du produit, et surtout qui insiste sur le fait que son huile de palme soit durable et qu’à petite  dose elle n’est pas mauvaise pour la santé.



vendredi 20 décembre 2013

Le Neuromarketing et la Santé

Vous trouverez ici un lien vers un article Quartier Libre du Journal des Grandes Ecoles et des Universités sur le lien entre le Neuromarketing et la Santé.

J'évoque dans cet article le IAT (Implicit Attitude Test) : lien vers le projet Implicit d'Harvard.

dimanche 8 décembre 2013

Sofiprotéol fête ses 30 ans !

L'acteur financier et industriel de la filière française des huiles et protéines végétales fête ses 30 ans d'existence et de succès. La cérémonie d'anniversaire s'est déroulée cette semaine au musée du Quai Branly.  A cette occasion François Hollande, Président de la République est venu saluer les 30 ans de l’entreprise par un discours de clôture dans lequel il a réaffirmé l’importance de l’innovation dans le secteur des protéines végétales, ainsi que l’engagement de la France pour soutenir les biocarburants. Ce colloque a été également l'occasion de faire découvrir le groupe Sofiprotéol aux non initiés au travers de son histoire ancienne et moderne.  


Voir également la vidéo du l'allocution du Président de la république sur le site de la Présidence de la République.

vendredi 6 décembre 2013

Livraison rapide par drone : bientôt pour les livraisons alimentaires en banlieux ?

Il y a quelques jours, je l'interrogeais sur la possible utilisation des téléphériques urbains pour assurer la logistique en milieu dense. L'équipe Jeff Bezos a imaginé un nouveau moyen de livraison : le drone; et il compte bientôt ouvrir un service de livraison rapide par les airs : Amazon Prime Air. Voici une courte vidéo de démonstration. 



Egalement, l'interview de Jeff Bezos pour 60 minutes.

lundi 2 décembre 2013

Des consommateurs plus conso-acteurs avant les fêtes de fin d'année ?

A la veille des fêtes de fin d'année, une nouvelle étude de BBMG, GlobeScan et SustainAbility constate que les consommateurs de 6 grands pays repense leur consommation avec la durabilité en tête. Slideshare ci-dessous en anglais


jeudi 28 novembre 2013

29 et 30 Novembre - Les banques alimentaires collectent....

Affiche conserve AD  horizontal
Donnez une petite part de vos courses peut sauver une famille !

Nestlé espère réduire la crise économique en Europe : grande initiative pour l'emploi des jeunes !

Nestlé a lancé, il y a quelques jours, une initiative très ambitieuse pour l'emploi des jeunes en Europe. Objectif 10 000 recrutements et 10 000 apprentis au cours des trois prochaines années.

"Think of the impact on our society if these young people are left on the margins, without income, without a future, without hope" 

Laurent Freixe, Nestlé Executive Vice-President and Zone Director for Europe





dimanche 24 novembre 2013

La fourchette électronique en exclusivité à la FNAC

En janvier 2013, le Consumer Electronic Show de Las-Vegas révélait une invention française : une fourchette électronique pour mieux manger. Nous en avions alors parlé dans un billet. Manger trop vite, ce n'est pas bon pour la santé ! disaient les experts. Cette fourchette permet de mieux contrôler la vitesse à laquelle une personne mange.




Aujourd'hui la FNAC propose cette fourchette en exclusivité pour les fêtes de fin d'année (99.90 € ou 88,90 €pour les adhérents).

La société HAPI.com propose également un HAPITrack. Un petit instrument que l'on met dans sa poche et qui compte le nombre de pas, mesure la distance parcourue, les exercices physiques et les calories brûlées, le tout en temps réel ! HAPIwatch est une montre connectée qui surveille votre sommeil et votre degré de stress. Vous la portez au poignet et elle mesure votre rythme cardiaque.

Be HAPI !

mercredi 13 novembre 2013

Nourrir les villes : une chance pour les agricultures familiales ?


Colloque international
Avec le soutien du ministère français de l’Agriculture,
de l’Agroalimentaire et de la Forêt




Vendredi 13 décembre 2013 - 9h00 - 17h15
Nourrir les villes : une chance pour les agricultures familiales ?
En 2050, deux tiers de la population des pays en développement vivront en ville, contre la moitié aujourd’hui. Cette évolution peut créer de nouvelles opportunités pour les agricultures familiales, à condition qu’elles soient en mesure de répondre aux changements quantitatifs et qualitatifs de la demande. Quelles sont les stratégies des acteurs des filières agroalimentaires, en Afrique subsaharienne, pour nourrir les zones urbaines ? Quels enseignements tirer des politiques mises en œuvre, au Brésil et en Inde, pour permettre aux petites exploitations agricoles de satisfaire les besoins alimentaires des citadins ? Quelles réflexions suscite, pour les pays du Sud, l’expérience française des MIN (marchés d’intérêt national) ? La Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde vous invite à débatt re de ces questions avec des représentants du secteur privé, des pouvoirs publics et des experts.

Consulter le programme
Centre de conférences de l'OCDE
2, rue André Pascal
Paris 16e, France
Interprétation français-anglais
Inscription obligatoire : www.fondation-farm.org/nourrir-les-villes
avant le 28 novembre
Participation gratuite dans la limite des places disponibles
 

mardi 12 novembre 2013

Les 12 préconisations de la SAF pour le rayonnement territoral des entreprises agricoles françaises

"L’actualité le prouve chaque jour un peu plus : une grande partie du monde agricole et du secteur agroalimentaire telle que nous la connaissons depuis les années 60 a atteint un palier. Au-delà des facteurs structurels et internes de crise, ne sommes-nous pas face à un profond enjeu d’adaptation au réel et à l’avenir ? Force est de constater que tout autour, c’est le monde en général, le monde global aux delà de nos frontières européennes, qui a changé et qui revoit ses modèles depuis longtemps ! L’avenir appartiendra assurément à celles et ceux qui ne miseront plus sur les mêmes schémas, qui verront plus loin, qui penseront autrement leur façon de produire et de valoriser leurs produits et leurs initiatives." 

C'est ainsi que Laurent Klein, Président de la Société des Agriculteurs de France (SAF), ouvre son édito du 8 novembre 2013. Bâtir de nouveaux schémas de pensée, c'est à quoi nous incite Laurent Klein. Cette incitation est accompagnée de 12 préconisations pour aller au-delà des barrières cognitives formées par les schémas actuels. En 2010, c'est Franck Riboud qui en 2010, dans l'introduction d'un rapport de l'ANIA, faisait part de la nécessité de faire "RESET".

“Pour s’adapter, il ne suffit pas de changer un paramètre de l’équation, il faut accepter de tout remettre à plat, de bousculer les schémas classiques, d’essayer plusieurs solutions en étant prêt à les faire évoluer rapidement en fonction des résultats. D’une certaine manière, nous avons mis les compteurs à zéro. J’appelle cela le “reset”, ou la réinitialisation.” 

Pour en savoir plus sur les travaux de la SAF:


Le besoin de rompre avec les paradigmes historiques du secteur des IAA semble avéré. Interrogeons-nous sur les nouveaux concepts qui pourraient guider nos pas dans le futur ! 

Le concept de biocénose (lire le billet sur le sujet) me semble intéressant, ainsi que les travaux sur l'ancrage local de BALLE et sur l'émergence de système alimentaire locaux ou régionaux (lire le billet sur le sujet).




lundi 11 novembre 2013

Contribuez à la Lutte contre le gaspillage alimentaire !

Le 14 juin 2013, le gouvernement français a lancé le Pacte National de Lutte contre le Gaspillage Alimentaire, une initiative collective pour le réduire le gaspillage alimentaire. Chaque foyer jette 20 à 30 kg de nourriture par an. Cela représente une somme d'environ 400€.


Nous avons souhaité contribuer au Pacte National en prenant l'initiative suivante:


  •  Recueillir les astuces pour lutter contre le gaspillage. Chacun d'entre nous met déjà en oeuvre dans son foyer, souvent avec beaucoup de succès, quelques astuces. Certaines restent très probablement encore inconnues dans d'autres foyers. 
  •  Transmettre ces astuces à d'autres foyers dans l'espoir qu'elles soient connues, puis adoptées par le plus grand nombre. Les astuces proposées seront présentées dans les pages du site Contribuez à la lutte contre le gaspillage alimentaire.


 Par avance, nous vous remercions de votre contribution à cette oeuvre d'intelligence collective pour la Lutte contre le Gaspillage Alimentaire.


Déposer une astuce : suivre le lien vers le questionnaire en ligne. Remplir le formulaire ne prend que quelques minutes. Aucune réponse n'est obligatoire. Vos astuces seront proposées sur le site dans les jours suivants.

Vous pouvez également vous abonner aux flux des astuces afin de vous tenir au courant des dernières astuces.


Olivier Fourcadet

samedi 9 novembre 2013

20/11/2013 – Conférence : « C’est quoi, une bonne négociation ? »


Le club ESSEC Distribution et Grande Consommation est heureux de vous convier à sa deuxième conférence :

« C’est quoi, une bonne négociation ? »

Au-delà des perpétuelles évolutions de la règlementation ou d’un contexte concurrentiel tendu entre distributeurs, la négociation reste au cœur des échanges entre industrie et commerce.
Antagonisme ou coopération ? Win-win ou jeux de dupes ? Originalité française ou réalité universelle ? Quelle est la réalité de la négociation ?

Table ronde « de saison » avec la participation de :

PBonnesPatrick Bonnes (E89)

Directeur Centrale d’Achats & Logistique
Auchan France

IOuanounouIlan Ouanounou

Vice-Président Commercial & Marketing
Coca Cola Entreprise

WRheimsWladimir Rheims

Directeur EPCS
Carrefour France

La table ronde sera animée par

RGuerinRemy Gérin

Professeur à l’ESSEC
Directeur exécutif de la Chaire « Produits de Grande Consommation »

La conférence sera suivie d’un cocktail.

S’inscrire

Inscription avant le 17 novembre
Pratique
Mercredi 20 novembre 2013 à 19h
Maison des ESSEC
Salles des Fondateurs
70 rue Cortambert
75116 Paris
Métro : La Muette (9) / Passy (6)
Bus : 32 – 22
Parking public : PASSY

vendredi 8 novembre 2013

Une courte pensée managériale

"If it [this change] is not considered as Science Fiction, then it is probably not enough transformative."

S. Brin, fondateur Google.




mercredi 6 novembre 2013

Recrutement - bientôt une épreuve de cuisine ?

Il y a quelques mois la traduction française du livre de William Poundstone "Êtes-vous assez intelligent pour travailler chez Google" dévoilait aux français quelques-unes des questions que les recruteurs de cette entreprise posent aux candidats. Le livre est un recueil de questions pièges, d'énigmes et de casse-têtes. Le livre est distrayant et d'après son éditeur indispensable pour ceux et celles qui souhaitent rejoindre une entreprise de la nouvelle économie. Les questions dévoilent les aptitudes intellectuelles que ces entreprises recherchent chez les candidats.

Les recruteurs les plus innovants pourraient très bientôt demander aux candidats de passer quelques heures dans la cuisine de l'entreprise afin de faire la preuve de leur talent culinaire. À quoi cela peut-il bien servir ? En quoi le talent culinaire d'un candidat témoignerait-il des aptitudes recherchées par les entreprises, disons, d'aptitudes pour le management ?


Image empruntée à Ikéa
La revue américaine Scientific American - Mind en dévoile les raisons dans son édition de novembre / décembre 2013. En fait, les qualités dont les cuisiniers (amateurs ou professionnel) doivent faire preuve lorsqu'ils cuisinent sont très proches de certaines de celles recherchées chez un manager. Mon propos fait abstraction des compétences techniques. À l'évidence, on ne peut pas demander à un apprenti financier de maîtriser la technique du désossage d'une cuisse de dinde ni un apprenti cuisinier de maîtriser les techniques d'estimation du prix d'une option exotique. 

Par contre, les qualités de concentration, de ténacité, de projection, ou bien encore de planification, pour n'en citer que quelques-unes, sont aussi importantes pour un candidat au concours de Master-Chef ou à l'intégration dans une entreprise dans une position de manager. Réaliser une recette de cuisine simple, dans un temps limité, voilà un moyen aisé de s'assurer que le candidat possède bien les qualités précitées. Et pour le second entretien : le candidat devra réaliser une pâtisserie ! Un moyen de vérifier une première bonne impression.  

mardi 5 novembre 2013

Une (petite) théorie de la Coopération !

Souvent, on utilise les termes de coopération, de collaboration ou bien encore, mais dans une moindre mesure, celui de coordination comme des synonymes. On entend parler de coopération agricole, d'économie collaborative, etc. Ça et là, on découvre des propos qui me semble étranges : pour sortir d'un conflit il faut coopérer pour passer en mode win-win ! En fait, chacun de ces mots possède un sens différent et la théorie des jeux peut apporter un éclairage plus précis et contrasté sur chacun d'eux. Ce premier billet est consacré à la coopération.

La théorie des jeux est une branche de l'économie (ou des mathématiques) qui s'intéresse aux interactions entre des agents. Ces derniers sont intéressés à produire pour un bénéfice de nature économique, sociale ou éthique. Plus simplement, ils peuvent rechercher le gain (l'absence de perte), le bien-être collectif ou bien s'engager dans une action parce qu'ils considèrent qu'elle est intrinsèquement bonne. Considérons une interaction de nature économique entre deux agents uniquement, A et B. Le lecteur pourra généraliser à un plus grand nombre d'agents et à d'autres types d'interaction.

La coopération est un d'abord un contexte. On peut parler de contexte de coopération lorsque l'agent B tire un bénéfice si l'agent A augmente l'intensité d'une action et réciproquement. Par exemple, si A décide d'investir dans une technologie moins polluante, alors l'entreprise B bénéficie également de cet investissement (la pollution affecte négativement les deux entreprises). La situation réciproque est également valide : l'entreprise a bénéficié d'un investissement dans une technologie moins polluante réalisé par l'entreprise B. On oppose les situations de coopération aux situations de conflit. Dans ce cas, si A augmente l'intensité d'une action (dont il pourrait tirer un bénéfice direct comme l'intensité publicitaire) alors l'entreprise B est perdante et réciproquement. Certains instruments stratégiques sont donc coopératifs, comme un investissement dans une technologie moins polluante, et d'autres sont conflictuels, comme l'intensité de la publicité ou le niveau de prix. Ainsi selon les instruments que l'on s'apprête à utiliser, la relation entre deux entreprises sera plutôt qualifiée coopérative ou plutôt conflictuelle.

Si A tire un bénéfice de l'intensification d'une action de B et réciproquement, on peut également se demander si A et B ont intérêt unilatéralement à intensifier leur action. Le contexte est coopératif, mais les entreprises ont-elles vraiment un intérêt à coopérer ? La réponse à cette question n'est pas toujours positive. Pour savoir si deux entités vont effectivement coopérer dans une situation de coopération, on doit explorer plus en détail la nature de l'interaction. Cela consiste à distinguer entre des interactions où la complémentarité joue un rôle prédominant de celles où la substitution joue un rôle prédominant. Le cas d'un investissement dans une technologie qui réduit la pollution permet d'illustrer les deux situations.

Considérons en premier lieu le cas de la substitution. On pourra parler de substitution si à l'investissement de A on peut substituer l'investissement de B et réciproquement. C'est le cas par exemple, si les deux entreprises sont susceptibles de polluer une rivière avec un même polluant. Une taxe s'abattra sur les deux entreprises si la pollution de la rivière atteint un certain seuil (inférieur à la pollution actuelle, mais supérieur à la pollution de chacune des entreprises). Nous sommes typiquement dans une situation de coopération. Si A abaisse son niveau de pollution par l'investissement, B en tirera un bénéfice. Et réciproquement. Mais c'est également une situation de substitution. Si A réalise l'investissement, B n'a pas besoin d'investir. La réciproque est également vraie. Ce que A apporte à la résolution du problème qui affecte A et B est équivalent de ce que B apporte à la résolution du problème. C'est pour cela que l'on peut parler de substitution.

Considérons maintenant le cas de la complémentarité. Supposons que les pollutions des deux entreprises soient de nature différente et qu'elles interagissent au détriment de la nature. Le législateur imposera une taxe si la nature est dégradée. Nous sommes typiquement dans une situation de coopération. Si A abaisse son niveau de pollution par l'investissement, B en tirera un bénéfice. Et réciproquement. Mais c'est également une situation de complémentarité. Si A réalise l'investissement, B aura toujours besoin d'investir et réciproquement.

Dans le cas de la substitution, A préférera que B investisse pour abaisser la pollution qui les affecte conjointement (et réciproquement). Il est probable que ni A ni B ne réaliseront l'investissement. On parle du problème du passager clandestin. Dans le cas de la complémentarité, A et B doivent investir. Ils n'ont pas d'autres choix. Ils devront coopérer. Un contexte coopératif ne conduit donc pas toujours à un comportement de coopération. La coopération est obtenue dans un contexte CC (coopératif et complémentaire), mais elle ne l'est pas toujours dans un contexte CS (coopératif et substituable).

Comment éviter le problème du passager clandestin et coopérer dans un contexte de type CS ? Il faut dans ce cas-là altérer la structure des interactions entre les deux entreprises. Un des moyens consiste à introduire un troisième acteur qui devra s'assurer qu'aucun passager ne voyage sans avoir payé sa place et qui le cas échéant sanctionnera durement celui qui ne respecterait pas les règles imposées à tous les agents.

Les situations de coopération ne sont pas réservées aux entreprises (ou aux problèmes de pollution). En tant que citoyens nous partageons avec les autres citoyens des biens collectifs (je préfère le terme de collectif au terme public). C'est par exemple le cas pour le système de santé, qui privé ou public, est un bien dont les bénéfices sont partagés par tous les adhérents. Les contributions d'un citoyen bénéficient à tous les autres citoyens. Mais l'existence de passagers clandestins en trop grand nombre peut mettre en danger l'existence du système collectif.



     

  

mardi 29 octobre 2013

Un nouveau regard sur les plantes invasives

Certaines plantes sont considérées comme des nuisances. Parmi celles-ci, on fait souvent la différence entre des espèces indigènes et des espèces plus récemment installées sur le territoire. Les plantes invasives, indigènes ou allogènes, s'étendent dans l'espace souvent au détriment d'autres espèces. Elles sont le plus souvent considérées comme un problème qu'il convient d'éradiquer.


Dans un article récent, les chercheurs se sont intéressés au rôle sur l'activité des abeilles et leur vitalité d'une espèce de marguerite. Cette plante est considérée comme invasive et nuisible aux Fiji. Contrairement aux idées reçues, cette plante a un effet positif sur la santé des colonies d'abeilles et sur celle des autres pollinisateurs. Indirectement, c'est l'agriculture qui y trouve son avantage. Cet article souligne l'importance de procéder à une analyse écosystémique avant de porter un jugement sur la valeur d'une espèce.  



  Prasad AV, Hodge S (2013) Factors influencing the foraging activity of the allodapine bee Braunsapis puangensis on creeping daisy (Sphagneticola trilobata) in Fiji. Journal of Hymenoptera Research 35: 56–69. doi: 10.3897/JHR.35.6006   

lundi 28 octobre 2013

Conférence - Agriculture pour le développement - Le biodiesel au Brésil

La Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde
vous invite à un petit-déjeuner-débat sur le thème :

« Le Programme biodiesel au Brésil, vecteur de développement »

Mardi 5 novembre 2013 - 8h30-10h00

Lancé au Brésil en 2004, le Programme national d’utilisation et de production de biodiesel (PNPB) vise en priorité à promouvoir l’intégration économique et sociale des petits agriculteurs et à favoriser le décollage des régions défavorisées. Caroline Rayol, ex-conseillère du gouvernement brésilien pour le PNPB, en dresse le bilan dans un document de synthèse rédigé pour la fondation FARM. Une pièce à verser au dossier de la contribution des biocarburants au développement durable, si controversée aujourd’hui.
Intervenants :
- Caroline Rayol, ex-conseillère de la présidence brésilienne pour les politiques sur les bioénergies
- François Giraudy, directeur Afrique, Eco-carbone
- Guénaël Le Guilloux, directeur, Agropol
 
Mardi 5 novembre 2013 - 8h30-10h00
L'Atelier du France, Paris Yacht Marina
Port de Grenelle, Paris 15ème

mardi 22 octobre 2013

Nos papilles souhaitent un bon anniversaire à Kitchen Trotter - déjà 1 an !

Le 11 octobre 2012... nous présentions Kitchen Trotter... une entreprise qui vous invite aux voyages culinaires. J'écrivais alors:

Vous avez repéré sur internet ou dans un magazine de cuisine une recette lointaine et envoûtante ...et puis, à la lecture de la liste des ingrédients, l'enthousiasme s'émousse. Où trouver tous ces ingrédients ? Certainement pas dans les commerces du voisinage !

Kitchen Trotter est probablement la solution à vos problèmes et plus encore ! Envie de voyages culinaires: Kitchen Trotter vous propose des beaux voyages culinaires autour du monde sur le rythme régulier d'un kit de voyage par mois. Celui-ci sera composé de recettes vous invitant au voyage, des ingrédients introuvables pour les mettre en oeuvre et d'une liste des produits frais et de l'épicerie courante faciles à trouver dans votre voisinage.

Kitchen Trotter propose différentes formules d'abonnement pour vous-même ou bien des formules à offrir....  Bon voyage !

Aujourd'hui Kitchen Trotter fête son premier anniversaire. 


Voici leur carton d'invitation






Un kit tour du monde en octobre !

Une délicieuse manière de fêter notre anniversaire


Nous avons déjà parcouru 74 728 km, mais gardez vos ceintures attachées car le voyage ne fait que commencer ;)

Cela fait déjà un an que l'aventure Kitchen Trotter a commencé, et pour cet événement tout particulier qui nous emplit d'émotions, nous avons souhaité embarquer nos Trotters dans un tour du monde culinaire le temps d’un repas : Suède, Thaïlande, Italie, États-Unis et Afrique de l’Ouest sont au menu pour ravir vos papilles. Et pour que vous puissiez souffler cette toute première bougie avec nous, Kitchen Trotter et Devineau vous offrent une jolie bougie parfumée au Monoï de Polynésie !

lundi 21 octobre 2013

Conférence : « Comment concilier ambitions climatiques et énergétiques et compétitivité ? »


« Comment concilier ambitions climatiques et énergétiques et compétitivité ? »


Le Club ESSEC Acteurs Institutionnels et ESSEC International ont le plaisir de vous convier à une conférence-débat sur le thème : 

Comment concilier ambitions climatiques et énergétiques
et compétitivité ?


avec des exemples concrets de la zone méditerranéenne

Le jeudi 24 octobre 2013 à 19h
à la Maison des ESSEC
 Avec la participation de :
  • Eric Mamer (E90), Chef de cabinet adjoint au Commissaire Européen de l'Energie
  • Michel Thiolliere, Commissaire à la commission de régulation de l'Energie (CRE), Vice-président du conseil des régulateurs européens de l'énergie, Président de MedReg (association regroupant 21 pays de la Méditerranée dans les domaines de la régulation de l'électricité et du gaz).
Au plaisir de vous accueillir nombreux le 24 octobre à la Maison des ESSEC.
Ricardo Perez-Nuckel (E00)
Responsable Club
ESSEC Acteurs-Institutionnel
Aline Rutily (E99)
Responsable ESSEC Business International
Philippe Pasdelou (E85)
Président 
ESSEC International

dimanche 20 octobre 2013

Les téléphériques urbains - une nouvelle logistique pour les marchandises en milieux denses ?

Plusieurs projets de téléphériques urbains vont voir le jour dans les villes françaises au cours des prochaines années. Pourraient-ils jouer un rôle dans la logistique des marchandises alimentaires en milieux denses ? Voici quelques vidéogrammes sur ces projets (Dans le Val de Marne, Brest et Grenoble).







Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

jeudi 17 octobre 2013

Cookbook aux Beaux Arts du 18 Octobre 2013 au 9 Janvier 2014

COOKBOOK L'art et le processus culinaire
Palais des Beaux-Arts
18 octobre 2013 - 9 janvier 2014

J'ai proposé aux lecteurs de ce blog des rencontres régulières au croisement en l'art et l'alimentation ou de l'art et de l'agriculture. Vous trouverez, par exemple, un nouveau déjeuner sur l'herbe d'A. Zapata une jeune artiste mexicaine. L'exposition aux Palais des Beaux-Arts nous permettra de nous interroger sur l'art et la cuisine, la cuisine dans l'art ou l'art de la cuisine, etc. À voir ! 

Communiqué des Beaux-Arts:

La deuxième exposition du Palais des Beaux‐Art se propose d’explorer les rapports de la création artistique et de la création culinaire, et leurs processus communs de transformation de la matière.

La création culinaire est en passe d’être reconnue comme un art à part entière, un mode d’expression ancré dans le contemporain. En 2007 déjà, Ferran Adrià se voyait invité en tant qu’artiste à la Dokumenta de Kassel. Mais sa participation fut limitée à l’invitation de quelques visiteurs de l’exposition dans son restaurant el Bulli à Roses… Comment la cuisine peut‐elle pleinement devenir un objet d’exposition ?

La « nouvelle cuisine » dans les années 1970, puis vingt ans plus tard l’avant‐gardisme espagnol ou italien, ont inscrit l’évolution sous le signe d’un devoir de création permanent. Plus récemment, le retour à l’ordre et le recentrage sur le produit ont été le pendant d’une esthétique « nature » qui, en phase avec l’éclosion de la cuisine nordique, a donné ses lettres de noblesse au locavorisme, y compris dans ses expressions les plus radicales. Tous ces mouvements ont libéré la créativité des chefs, questionnant dans un même élan le statut du cuisinier. Tel le cinéma dans les années 1950, la cuisine bénéficie désormais d’une “politique des auteurs “ et d’une critique capable d’en déchiffrer les motifs et les enjeux.

Tel est l’enjeu principal de COOKBOOK : situer la création culinaire dans le champ culturel contemporain, et initier un plus profond dialogue entre artistes et cuisiniers d’aujourd’hui, alors que se multiplient les échanges et les influences mutuelles entre le monde de l’art et celui de la gastronomie. Quelles sont les tendances esthétiques et les formes dominantes dans la cuisine contemporaine ? Le geste de la cuisine nature est‐il soluble dans le travail théorique des cuisiniers plus conceptuels ?

Dans l’exposition centrale du programme COOKBOOK, l’art contemporain forme une “gangue” autour de la création culinaire, représentée par les œuvres préparatoires(dessins, croquis, collages, vidéos…) exécutées par les maîtres de la gastronomie mondiale.

En retour, COOKBOOK isole quelques composantes de la pratique culinaire (la cuisson, la table, la transformation alchimique de la matière, l’apport de la “cuisine moléculaire” et de la réflexion sur les structures et les matières des ingrédients…) afin d’en repérer l’action ou les correspondances dans le processus artistique.

Au‐delà d’une énième illustration des rapports entre l’art et la cuisine, COOKBOOK entend montrer que tous deux partagent aujourd’hui des problématiques communes.

L’exposition se place sous l’égide d’un texte de Claude Lévi‐Strauss, Le Triangle culinaire, qui montre que les registres du cru, du bouilli et du rôti forment trois catégories esthétiques, trois régimes de traitement du matériau artistique.

Comme pour chacun des programmes du Palais des Beaux‐Arts, COOKBOOK comprendra également un volet historique, avec une sélection d’œuvres issues de la collection des Beaux‐Arts, l’exposition personnelle d’un artiste « relu » avec un regard contemporain, ici Gianfranco Baruchello, tandis que le Belvédère présentera des projets d’étudiants et diplômés de l’école.

Des événements culinaires, notamment des dîners‐expositions, se tiendront tout au long de l’exposition dans divers espaces des Beaux‐Arts de Paris.

Gianfranco Baruchello, peintre, poète et cinéaste, né en Italie en 1924, invite avec beaucoup d'humour et de liberté à l'exploration d'un quotidien anarchique et en perpétuelle mutation. Son univers protéiforme (composé pour partie de boites, dessins et oeuvres sur toile) place l'humain au coeur de la pratique artistique, et se déploie entre compositions miniatures et projet social. Agricola Cornelia, ferme agricole qu'il a mené dans la banlieue de Rome de 1973 à 1981, témoigne de l'inventivité de cet artiste peu connu en France.

Engagé dans les avant‐gardes artistiques et littéraires depuis l'après‐guerre, ami de personnalités telles que Marcel Duchamp, Italo Calvino, Alain Jouffroy ou Jean‐Francois Lyotard, Baruchello présentera aux Beaux‐Arts de Paris des oeuvres qui illustrentson rapportfertile avec la nature, la vie quotidienne et la chaîne alimentaire.

Chefs représentés:
Ferran Adria, Antoni Aduriz, Inaki Aizpitarte, Massimiliano Alajmo, Yannick Alleno, Eneko Atxa, Massimo Bottura, Michel Bras, Alexandre Gauthier, Bertrand Grebaut, Rodolfo Guzman, Daniel Humm, Virginio Martinez, Magnus Nilsson, Paul Pairet, Alain Passard, Daniel Patterson, René Redzepi,Davide Scabin, Michel Troisgros.

Artistes contemporains exposés:
Sophie Calle, ErikDietman, Christian Jaccard, Miralda,Daniel Spoerri, ainsi que Alisa Baremboym, Alice Channer, Elad Lassry,John Tremblay et Venuz White.





L'avenir de l'alimentation - Session de formation de Futuribles - 5 décembre 2013 9h00 - 6 décembre 2013 17h30

Vous trouverez sur leur site internet le texte suivant :
"La consommation des ménages et les comportements alimentaires des Français évoluent considérablement sous l’effet conjugué de leurs valeurs et aspirations, de leurs revenus, de leur activité professionnelle, de leur mode de vie…, et de la structure de l’offre alimentaire (lieux de consommation, types de produits…). Ainsi assiste-t-on au développement de produits préparés, de l’alimentation hors domicile, de la déstructuration des repas…

Du côté des consommateurs, outre les inégalités qui subsistent, émergent en même temps, étroitement liées aux comportements alimentaires, des questions désormais essentielles telles que le plaisir, la santé, les exigences nouvelles de qualité et de traçabilité. Du côté de la production et des services, pour chacun des acteurs de la filière (producteurs, industries agroalimentaires, distributeurs…), des transformations s’opèrent aussi.

Cette session de formation a pour objectif de faire le point sur les tendances lourdes et émergentes d’évolution, en termes qualitatifs et quantitatifs, des comportements d’achat et de consommation alimentaires des Français, ainsi que sur les transformations qui peuvent intervenir tout au long de la chaîne de production. Bien entendu, ces analyses seront enrichies de comparaisons internationales.
PROGRAMME
JOUR 1
8h45 - Accueil des participants

9h00-9h30 - Introduction générale et présentation des participants
Bruno HÉRAULT, François de JOUVENEL, Céline LAISNEY

9h30-11h00 - LES COMPORTEMENTS ALIMENTAIRES, MIROIR DU CHANGEMENT SOCIAL
• L’alimentation comme fait social et culturel
• Différences et inégalités, temps et espaces
• L’alimentation dans l’évolution des modes de vie
Bruno HÉRAULT

11h00-11h30 - Pause

11h30-13h00 - LA PROSPECTIVE DES COMPORTEMENTS ALIMENTAIRES DES FRANÇAIS : LES TENDANCES LOURDES
• Panorama des données disponibles
• Rétrospective et prospective
• Comparaisons internationales
Céline LAISNEY

13h00-14h30 - Déjeuner en commun

14h30-16h00 - LA PROSPECTIVE DES COMPORTEMENTS ALIMENTAIRES DES FRANÇAIS : LES PHÉNOMÈNES ÉMERGENTS ET LES RISQUES DE RUPTURE
• Les effets de mode et les faits porteurs d’avenir
• Les facteurs de rupture et les conséquences qui peuvent en résulter
Céline LAISNEY

16h00-16h30 - Pause

16h30-18h00 - L'ALIMENTATION DU FUTUR : LES INNOVATIONS SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES
Gilles TRYSTRAM


JOUR 2

9h00-10h30 - LE LAIT, LES PRODUITS LAITIERS ET LA SOCIÉTÉ À L’HORIZON 2025
UN EXERCICE DE PROSPECTIVE
François BOURSE

10h30-11h00 - Pause

11h00-12h30 - LE RÔLE DES INDUSTRIES AGROALIMENTAIRES• L'évolution du secteur agroalimentaire
• Les nouveaux enjeux
• Les perspectives
Alexander LAW
12h30-14h00 - Déjeuner en commun

14h00-15h30 - LE RÔLE DE LA DISTRIBUTION ET DU COMMERCE
• Les acteurs en présence et leur part respective
• Les comportements et achats
Marine DIGABEL

15h30-16h00 - Pause

16h00-17h30 - LES RISQUES ÉMERGENTS EN MATIÈRE D’ALIMENTATION
• Les risques sanitaires liés aux aliments et à la production alimentaire
• Les risques environnementaux liés à la production alimentaire
• Les enjeux d’aujourd’hui et de demain et l’impact des risques sur les comportements des consommateurs
Cécile WENDLING
17h30-17h45 - SYNTHÈSE ET ÉVALUATION
PUBLICCette formation s’adresse aux responsables de la conception de produits et de services agroalimentaires ou de restauration hors foyer, aux responsables du marketing dans l’industrie agroalimentaire, aux professionnels de la distribution et du commerce, ainsi qu’aux responsables des collectivités territoriales en charge de la restauration collective. Plus généralement, elle s’adresse à tous ceux qui s’intéressent à l’évolution à moyen et à long terme des modes de vie des Français, et en particulier à la consommation alimentaire des ménages.

SUPPORTSUn dossier de base sera remis aux participants comprenant la copie papier des principaux supports utilisés ainsi qu’une bibliographie. Ce dossier pourra être téléchargé à l’issue de la formation.
FRAIS D'INSCRIPTION
Les frais d'inscription se montent à 1260 euros hors taxe, soit 1506,96 euros TTC. Ils comprennent la participation à l’ensemble de la formation, les déjeuners et les supports.?Toute inscription multiple permet, dès la 2e inscription, de bénéficier d'une réduction de 10% (remise non cumulable avec les remises dont bénéficient les membres de Futuribles International).?Les membres partenaires de Futuribles International sont dispensés de frais d'inscription (valable pour une personne). Les membres associés bénéficient d'une remise de 50 % (valable pour une personne).
Futuribles International est un organisme de formation agréé. Son numéro d'enregistrement est le 11751653975.  Futuribles International est aussi un organisme de formation agréé par le ministère français de l’Intérieur pour la formation des élus locaux. 

Informations pratiques

  • Lieu : 47 rue de Babylone, 75007 Paris, France
  • Organisateur : Futuribles International
  • Téléphone : +33 (0)1 53 63 37 71
  • Courriel : croels@futuribles.com
  • Site web : http://www.futuribles.com/

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