Le protocole semble être entaché de quelques défauts rédhibitoires :
- La souche de rat utilisée est habituellement bannie des études visant à estimer le pouvoir cancérigène d'un produit parce que les rats de cette souche développent des tumeurs avec des fréquences très élevées.
- Le nombre des animaux est insuffisant pour permettre une comparaison statistique de qualité.
Affaire à suivre !
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