jeudi 29 mai 2014

10 000 boutiques pour quelques jours : le fast shopping !

Le comptoir des cotonniers (une enseigne du groupe Fast Retailing auquel appartient également PRINCESS tam-tam et Uniqlo) s'installe du 28 mai au 17 juin dans 10.000 boutiques, comme  certains abribus. Avec Fast shopping, le comptoir rapproche des consommatrices ses boutiques internet. Acheter avec votre téléphone portable (et l'application Powatag) ne prend que quelques secondes.  Une page de magazine, un abribus, une table dans un café ou dans un salon de coiffure, une voiture UBER, ... Flashez, achetez et .... livraison en 48 heures.








Découvrez la vidéo


mardi 27 mai 2014

Kasher B to B meeting Paris 10 Septembre 2014

KASHER B TO B MEETINGS PARIS

RENDEZ-VOUS D’AFFAIRES & CONFERENCES


 
Le Mercredi 10 Septembre 2014, se déroulera à La Grande Arche située à Paris La Défense, le 1er Salon international "Kasher B to B Meetings" - Rendez-vous d'affaires.

Exposants et visiteurs, ce salon professionnel réunira des producteurs, importateurs, distributeurs, exportateurs, agences de certification Kasher, ... venus du monde entier; des recherches, des questions et des solutions sur un marché en croissance annuelle de plus de 12%.

Les exposants pourront :
- Soit rencontrer les visiteurs sur leur stand selon des plannings de rencontres pré établis
- Soit rencontrer les visiteurs sur leur stand selon des plannings de rencontres pré établis + réserver un salon privé pour une durée pré définie

Les visiteurs trouveront des solutions

Les conférences animeront ce salon; on y parlera des opportunités des marchés, des produits, … , on vous donnera des exemples de réussite dans l’agro alimentaire, dans la restauration, …on y parlera également de la traçabilité induite par la certification Kasher; une sécurité alimentaire qui concerne tout consommateur soucieux de savoir ce qu'il mange !

Tarifs préférentiels pour toute réservation avant le 15 Juin 2014.

Contact : 
Tel:+33 (0)6 64 94 51 49 - oprinc@hakoa.net - skype : ooprinc

Club ESSEC - Distribution et grande consommation :11 juin 2014 19h Collaboration industriel - distributeur : Mythe ou réalité ?

Collaboration industriel-distributeur : mythe ou réalité ?

Le club ESSEC Distribution et Grande Consommation organise Mercredi 11 Juin à 19h une conférence – débat sur le thème :

«Collaboration industriel-distributeur : mythe ou réalité ?»

Six dirigeants expérimentés issus ou passés par les groupes AuchanCarrefourMonoprixDanoneP&GDelpeyratMichel & Augustin ont accepté de débattre de cette question en binôme.
Un échange « sans tabou », traitant des succès et des difficultés et fondé sur des exemples concrets
Table-ronde animée par Xavier HuaDirecteur Général de l’ECR France, et suivie d’un cocktail dinatoire.
Intervenants :
  • Patrick Bonnes (E89), Directeur de la négociation des achats et de la logistique, Auchan
  • Michel de Rovira, co-fondateur, Michel & Augustin
  • Laurent Blime, Directeur Supply Chain de Sanofi, anciennement successivement Directeur Supply Chain de Gillet, P&G et Danone
  • Dominique Duprat (M95), DGA, Delpeyrat     ​​
  • Jérôme Le Bleis, Directeur Supply Chain, Carrefour     ​​
  • Dominique Fenech, Directeur des achats Produits Alimentaires​,​ Monoprix
Inscription uniquement en ligne – avant le 09 Juin 2014

S’inscrire

Pratique :
Maison des ESSEC
70 rue Cortambert
75116 Paris

Club ESSEC Agro-Business : E - commerce Alimentaire avec Jérôme Dalidet PDG Auchan Direct.

A partir de mai 2014, le club Agro-alimentaire se transforme et devient le club ESSEC AGRO BUSINESS : nouvelle équipe, nouveau projet.
Le Club ESSEC AGRO Business organise 17 juin prochain à 18H30 à la Maison des ESSEC, un débat sur le :

« E-commerce alimentaire »

autour de :

Jérôme Dalidet
PDG d’Auchan Direct

Portrait Jérôme DALIDET






AUCHAN Direct


Quelles opportunités pour le e-commerce alimentaire aujourd’hui et demain ? 
Quels axes de développements ? 
Quels freins ? quel modèle économique ? Y a t-il une complémentarité avec le drive ?  
Comment identifier les leviers d’achat ?  Comment générer du traffic?   
Quelle stratégie mettre en place : augmentation la fréquence d’achat ou/ bien du panier moyen? …
Venez nombreux participer à ce débat qui se terminera par un cocktail.
Prix unique pour notre premier événement : 15€

S’inscrire

Si vous travailler dans l’agro-alimentaire au sens le plus large ou si vous avez fait un mastère agro alors nous avons besoin de vous. Soyez nombreux à venir rejoindre ce club en cliquant sur le site d’ESSEC Alumni pour recevoir nos prochaines invitations !
Pratique :
Maison des ESSEC
70 rue Cortambert
75116 Paris

Découvrez Cookening : Des repas à la maison pour des rencontres improbables !

"Que vous soyez touriste, expatrié ou local, avec Cookening il est possible de facilement trouver un hôte et une table pour manger chez l'habitant."

Cookening met en relation des passionnés de cuisine (les hôtes) et des amoureux des bons repas, des belles conversations. Après le CouchSurfing, découvrez le FoodSurfing (ou le EatSurfing) avec cookening. Il est très simple de devenir hôte et de très vite organiser son premier repas (un diner, un brunch, un déjeuner ou un même apéritif). Un moyen de découvrir et partager le temps d'un repas le plaisir d'une conversation, d'une saveur, d'un croustillan, ...

"Pour le futur convive, Cookening facilite la découverte d'offres de repas chez un particulier, et favorise la confiance. Etre hôte pour un repas chez l'habitant, ou devenir convive et s'inviter chez un particulier pour un repas chez l'habitant, c'est une expérience unique de la consommation collaborative !"

Voir leur vidéo - un exemple de soirée Cookening


samedi 24 mai 2014

Venez découvrir le futur des systèmes de paiement à Paris le 18 juin 2014 !


         


Paris Region - Payment Innovation Day


Nous sommes heureux de vous inviter à la troisième édition du Paris Region Payment Innovation Day qui se tiendra au Palais Brongniart le 18 juin 2014 en partenariat avec Edgar, Dunn & Compagnie et le pôle de compétitivité FINANCE INNOVATION.

Cette conférence offrira aux professionnels français de l’industrie des paiements l’opportunité de rencontrer des entreprises innovantes étrangères voulant se développer en France.

Programme et inscriptions (en anglais)


8h45 : Accueil et café

9h00 : Introduction par Paris Region

9h10-9h35 : Les dernières tendances en matière de paiement par Pascal Burg, Directeur – Edgar, Dunn, and Company

9H35-10h00 : Zoom sur les Etats-Unis par Daniel Chatelain, Directeur de Management – BayPay Forum

10h00-10h30 : Présentation de  3 entreprises étrangères innovantes

-          Nok Nok Lab
-          MyBank
-          Vigistrust

10h30-10h45 : Pause networking

10H45-11h10 : Présentation de l’écosystème français de paiement par Grégoire Toussaint, Manager – Edgar, Dunn, and Company

11h10-11h35 : Table ronde sur les expériences clients et sur les services innovants dans les paiements

Modérateur: Pascal Burg, Directeur, Edgar, Dunn, and Company
- Céline Lambert, Responsable département paiements et lutte contre la fraude, Voyages-SNCF.com
- Philippe Cros, Directeur, Paiements, Atos Worldline
- Frederic Leclef, COO, Fivory

11h35-12h05 : Présentation de  3 entreprises étrangères innovantes

-          Boku
-          Sentenial
-          Cash Payment Solutions

12h15 : Cocktail networking

13H30-16h30 : Rencontres B2B
Nous serions heureux d’organiser de courtes rencontres en face-à-face avec nos entreprises étrangères qui pitcheront durant la matinée. Pour plus d’information, contactez Rémi Bergues.

Toutes les présentations seront en Anglais.

Cet événement est gratuit.

Pour vous enregistrer, cliquez ici.
 



 

jeudi 22 mai 2014

Demain, tous producteurs de viande ?

Le titre original de l'article de Cor van der Weele et Johannes Tramper publié dans Trends in biotechnology est "Cultured meat: every village its own factory?" 

Produire de la viande synthétique à partir de cellules souches de poulet, de lapin, de porc, de bovins ou même d'insecte ne semble pas particulièrement difficile (voir la figure ci-dessous extraite de leur article)


Pour en savoir plus, lire l'article original (lien ici). Au-delà des aspects techniques, les avantages mis en avant par les aficionados de ce mode de production sont essentiellement associés à une problématique de bon usage des ressources naturelles, de bilan énergétique, de consommation d'eau et des terres agricoles, d'antibiotique, etc. (la référence est le mode de production américain).

Le premier Burger réalisé avec de la viande synthétique a été servi à Londres l'été dernier (2013). Coût de production estimé 250 000 €. (lien ici vers l'article du Guardian).

S'oriente-t-on vers les moyens d'une production locale ? Peut-être demain le choix d'un logement se fera sur la base de la qualité de "sa centrale de production alimentaire" ! Production de légumes, de sucre (avec des bactéries), de poissons, de champignons, etc. Le consommateur demain sélectionnera entre plusieurs substrats, technologies de production plutôt qu'entre différents produits alimentaires.... besoin de diversité ? le web collaboratif permettra de réaliser quelques échanges dans le voisinage ! A suivre.

mercredi 21 mai 2014

Conférence de la SAF - Alimentation des 18-25 ans ? Quel est le risque de perte de la culture alimentaire ?

3 juin : Alimentation des 18-25 ans : une dérive irréversible ?
Thématiques : Alimentation - Consommation / Agroalimentaire - Agro-industrie

Evénement uniquement réservé aux adhérents à jour de cotisation
Alimentation des 18-25 ans : 
une dérive irréversible ?
Mardi 3 juin 2014
16h00-19h00
 Quel est le risque de perte de "culture" et de repères alimentaires chez les jeunes de 18/25 ans ? Quelles sont les opportunités pour y remédier ? Si une tendance lourde existe, peut-on l'infléchir, la rectifier et si oui comment ?

Pour adhérer ou renouveler votre adhésion, cliquez 
ici !

jeudi 15 mai 2014

Toshiba futur concurrent de Bonduelle ?

Toshiba Corporation, l'entreprise industrielle japonaise, a annoncé investir dans des usines de production de légumes (lire le communiqué de presse en anglais).

Pas de pesticide dans une production de légume dans des conditions quasi aseptique. Une première usine est implantée dans la préfecture de Kanagawa au sud de Tokyo. L'entreprise espère réaliser un CA de 300 millions de yens par an (environ 2.15 millions €). L'entreprise possède une expertise dans l'utilisation des salles blanches. Celles-ci sont utilisées dans la production de semi-conducteurs et l'assemblage de produits électroniques de précision. Ce site de production intègre les technologies innovantes dans l'éclairage, le contrôle thermique, les flux hydriques, etc. Toshiba Corporation indique ainsi promouvoir de nouveaux concepts fondés sur l'intégration de technologies connues afin de produire des solutions dans plusieurs industries, dont l'agriculture (un concept économe en ressources hydriques).

Mizuna
L'entreprise va servir les marchés locaux en salades, feuilles d’épinard, Mizuna, etc. Elle indique également s'intéresser aux légumes fonctionnels riches en polyphénols ou en vitamine C. La technologie aseptique permet de préserver la fraicheur et la durée de vie des légumes, lesquelles sont principalement affectées par la présence de germes. 

Vous trouverez dans ce blog plusieurs billets sur les fermes urbaines (par exemple, celle de Pasona). Ce billet est également en mettre en relation avec un billet sur la relation entre la démographie agricole et l'industrialisation de la l'agriculture.     

Le premier ministre Japonais a visité au pays-bas des fermes industrielles lors de sa récente visite en Europe (au début du mois de Mai 2014).     

lundi 12 mai 2014

Quelle est la vraie valeur de l'eau ? Le prix réel du Burger !

Il n'est pas rare que le magazine américain Fortune s'intéresse à une entreprise agroalimentaire. Souvent, ses éditeurs attirent l'attention de leurs lecteurs sur de grandes entreprises nationales (américaines) ou internationales, leur stratégie, leur performance, le style de management de leur patron, etc. Mais, il est plutôt rare qu'ils parlent d'agriculture, même si certaines fermes, de taille très respectable, pourraient intéresser aussi leurs lecteurs, qui sont souvent des investisseurs à la recherche d'un bon placement. 

L'article intitulé "Quelle est la valeur de l'eau?" (l'auteur est Brian Dumaine, senior editor-at-large) tranche avec leurs habitudes. Derrière ce titre, se cache en fait un portrait de l'agriculture américaine, de ses problèmes actuels et futurs. La Californie, avec moins de 1% des terres agricoles du pays produit cependant près de 40% de l'alimentation des Américains. Mais, les agriculteurs californiens ne sont plus en mesure de livrer leurs clients, des entreprises qui, comme Heinz, achètent des tomates et des oignons pour fabriquer des sauces ketchup. La raison: une intense sécheresse. La Californie n'est pas le seul des états touché par cette sécheresse. En avril sur 252 cantons que compte le Texas, 240 étaient déclarés en état de catastrophe naturelle. Le Mexique aussi était affecté.  

De nombreux agriculteurs ont été obligés, dans le centre de la Californie, de placer des parcelles en jachère faute de ne pas pouvoir disposer de quotas d'eau suffisamment importants pour irriguer la totalité de leur exploitation (ils peuvent toujours acquérir de l'eau sur le marché spot, donc avec un prix fluctuant au cours de la saison en fonction de l'offre et de la demande). C'est ainsi qu'ils ont décidé, dans la seule partie centrale de la Californie, de ne pas mettre 200 000 hectares en production. Le premier effet de cette restriction est l'augmentation des prix des produits agricoles. 

Brian Dumaine propose une solution particulièrement simple : faire payer aux consommateurs le prix réel de leur alimentation. L'opération consiste à estimer les quantités d'eau incorporées dans la production d'un produit et de valoriser celle-ci au prix du marché de l'eau du robinet. Les équipes du magazine ont fait le calcul pour un Burger (half-pound / 220 gr) : son prix serait alors d’environ 23 $. 

Ce déficit est préoccupant. D'autant plus préoccupant que les experts n'envisagent pas de retournement de la tendance. Autrement dit, la demande d'eau excédera durablement l'offre au moins dans certaines régions agricoles, lesquelles comme la Californie dépendent de l'accès à l'eau et dont dépend une grande partie de l'alimentation de la population. 

Quel est le degré de notre dépendance à l'eau ? C'est là une question qui ne peut plus être occultée par les acteurs des filières agricoles.

jeudi 8 mai 2014

Amazon.com - Abonnez-vous pour 15% de réductions ! La fin du drive ?

Vous ne trouvez pas votre marque alimentaire préférée dans les magasins du voisinage (par exemple la nouvelle eau gazeuse aromatisée à la mure de Talking Rain) ! Amazon.com (USA) à la solution pour vous. Et plus encore : le pack de 12 bouteilles est à $14,28 pour un achat. Mais il revient à $13.57, soit une réduction de 5% si vous vous abonnez. Vous pouvez même obtenir une réduction de 15% si vous décidez de souscrire un abonnement d’au moins cinq produits par livraison mensuelle. Tous les produits ne sont pas éligibles pour ce programme : seulement 30 000 produits alimentaires et 2 000 pour la maison. SEULEMENT !

Les livraisons sont effectuées d'une fois par mois à une fois tous les 6 mois. De cette manière, Amazon.com peut optimiser la logistique et proposer des réductions. Mais le système permet aux clients d'ajuster leur date de livraison. Ce service est-il complémentaire du Drive à la Française ? Ou bien un sérieux concurrent ? Le marché alimentaire va-t-il encore évoluer, par exemple, vers des magasins de proximité pour l'achat de produits frais et des services en ligne pour l'épicerie et les boissons ?

EvianChezVous.com propose déjà depuis plusieurs un système similaire d'abonnement pour les eaux de Danone et les laits maternisés. 

mardi 6 mai 2014

Etude de cas : Naturex: un nouveau contrat avec Dame Nature !

Vous trouverez ici le lien vers ma dernière étude de cas : Naturex: un nouveau contrat avec Dame Nature ! Le protocole de Nagoya (de la Convention pour la Biodiversité) vise à protéger les ressources naturelles en organisant le partage de la valeur entre ceux qui les exploitent et ceux qui tirent un bénéfice de ses produits. Dans le cas de la Griffe du Diable, une plante dont l'habitat principal est le désert du Kalahari, les exploitants sont les membres de la tribu San. Les extraits de cette plante sont utilisés par les entreprises des pays du Nord dans des préparations à usage médical.

Le protocole de Nagoya repose sur l'idée qu'une juste rémunération des récoltants devrait faciliter la préservation de la ressource.  Pour Anthony Verdugo, acheteur de tubercules de Griffe du diable pour Naturex, le leader mondial de spécialités d'origine végétale, il s'agit de savoir si la ressource naturelle n'est pas surexploitée et quels seront les effets du protocole de Nagoya sur son exploitation future. 
 

samedi 3 mai 2014

La couleur du temps ! Climat et vins.

Quels sont les effets potentiels du changement climatique sur la composition du raisin? Depuis quelques années, en partant de l'observation du comportement de la vigne aux conditions météorologiques, on spécule sur les effets du climat. Des chercheurs espagnols ont cherché à produire en serre les effets du changement climatique sur la production d'une variété de vigne, le Tempranillo. Ce cépage est particulièrement connu en Espagne et dans les pays d'Amérique du Sud. Il est utilisé pour élaborer les fameux Riojas, des vins rouges que l'on produit dans le nord de l'Espagne. En serre, plusieurs conditions ont été contrôlées (température, taux de CO2, humidité) et les résultats ont été comparés avec ceux des vignes en conditions naturelles.

Les chercheurs ont mis en évidence plusieurs effets. Le degré de maturité (taux de sucre), qui signale habituellement le moment le plus propice à la récolte, a été avancé de 9 jours. À ce moment-là, on observe sur les raisins exposés aux conditions du changement climatique un découplage entre plusieurs paramètres qui font la qualité d'une récolte. Les spécialistes de la vigne considèrent plusieurs degrés de maturité : la teneur en sucre et l'acidité du mout (maturité technologique), la couleur de la peau (maturité polyphénolique),  la teneur aromatique, etc.

Une variété est bien adaptée à un climat si ces différents paramètres coïncident dans le temps. Dans le cas contraire, la qualité du vin peut être affectée. Par exemple, l'acidité du mou affecte la capacité de garde du vin. Les chercheurs ont observé un découplage entre la teneur en sucre, le pH du mout, la coloration. Les implications de ces résultats sont particulièrement importantes pour le travail des viticulteurs, la vinification et le maintien de la qualité et de la typicité des vins. Il faudra faire des choix entre la couleur, la durée de garde, la saveur, etc. Les spécialistes de la génétique de la vigne pourraient avoir un rôle important en proposant de nouvelles variétés plus adaptées aux nouvelles conditions. Une autre option : jouer sur les associations de cépages.

Les travaux de cette équipe complètent (par une méthode expérimentale) les anticipations sur la qualité des vins de Jones et col. ou ceux de Diffenbaugh et col. obtenues à partir des observations de terrain.  

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