lundi 31 mars 2014

PerfAlim - Mesurer la capacité nourricière d'une exploitation

À côté d'outils pour calculer l'empreinte écologique (ou l'emprunt) d'une entreprise ou d'une exploitation, plusieurs autres outils en ligne ont fait leur apparition.

PerfAlim est l'un d'entre eux ! Il s'agit d'un calculateur qui estime la performance nourricière d'une exploitation. Le principe est simple. La production alimentaire de l'exploitation (net des entrants) est, après transformation en unités nutritionnelles (Énergie, Protéines totales et protéines animales) comparée aux besoins moyens d'un individu. 

vendredi 28 mars 2014

Gouter un produit à distance avec une électrode sur la langue

L'univers des jeux vidéo va très bientôt s'enrichir de systèmes électroniques qui devraient permettre aux joueurs d'éprouver les sensations tactiles, olfactives et gustatives. Ainsi l'immersion dans le jeu sera plus intense. Certaines de ces futures applications peuvent également intéresser les entreprises du secteur agroalimentaire. Il sera possible dans quelques années de faire goûter un plat ou un vin à distance à un internaute qui trouverait sa photographie sur internet.

La digital lollipop est l'invention d'une équipe de chercheurs dirigée par Nimesha Ranasinghe à la National University of Singapore (NUS). Il s'agit d'une petite plaque (électrode) que l'on pose sur la langue système et qui transmet des courants et de la chaleur localisés qui vont exciter les papilles. C'est ainsi que pour l'instant quelques sensations gustatives peuvent être transmises. Ce système encore aujourd'hui très rudimentaire pourrait dans les prochaines années révolutionner le monde de l'agroalimentaire en donnant à tester une recette par un moyen électronique de l'ordinateur vers la langue via une électrode.

Voir la video ci-dessous

 

A suivre...

mercredi 26 mars 2014

Le 27 mars 2014 - Journée du café. Faites vous plaisir - dégustez un café de Pâques !

Les Français aiment le café. Contrairement au Vin ou au Thé, deux produits qui souffrent d'un manque d'intérêt des jeunes, Nespresso ou Starbucks ont su attirer les jeunes vers le café. C'est un premier pas dans la découverte du café. Celui-ci partage avec le vin et le thé bien des similitudes: Terroirs, crus... De nombreux terroirs sont trop petits pour intéresser les acheteurs des grandes compagnies. Cependant, par l'intermédiaire des "petits" torréfacteurs, ces produits sont disponibles sur le marché.  On estime qu'il y a une vingtaine de variétés de café et plusieurs centaines de terroirs.   

"Le jeudi 27 mars 2014, le Comité Français du Café et ses adhérents se mobilisent pour la Journée du Café.
Grâce à la rubrique Où trouver du bon café ? Venez découvrir les torréfacteurs proches de chez vous !

Au programme : 
  • Dégustations gratuites des meilleurs cafés (grands crus, assemblage...)
  • Visites d'ateliers de torréfactions
  • Initiation à la torréfaction et à la préparation du café"


Faites-vous plaisir - dégustez un café de Pâques !


lundi 24 mars 2014

Distributeurs Automatiques - Un premier distributeur de Viande en France

Merci à Céline L. de m'avoir fait part de cet article de Benoît Carette dans la Charente Libre (juin 2013) sur l'implantation d'un nouveau type de distributeur automatique. Le second billet de ce blog (en Aout 2011) s'intitulait "De la fourche à la fourchette : des distributeurs automatiques de produits fermiers". Les distributeurs automatiques offrent un moyen d'étendre "les heures d'ouverture" à un moindre coût. Ils sont déjà nombreux dans d'autres pays, comme en Suisse, en Allemagne et au Japon.

Voir aussi les billets  : Distributeur de Cupcakes aux USA


Première en France donc ! Un distributeur de viandes, pâtés et saucisses.  Une mini-boucherie au coin de la rue. Avec des produits frais, comme au magasin ou sur le marché, mais accessibles à toute heure du jour et de la nuit.




Voir la Vidéo ci-dessous de Madame Laëtitia Lafaye qui présente le distributeur et les raisons de son installation.  

mercredi 19 mars 2014

Du "Big Data" au "Very Big Data"

Les superlatifs ne manquent jamais pour qualifier un phénomène. Il y a déjà le Big Data... C'est un sujet déjà bien discuté comme en témoigne le nombre des publications académiques (je vous invite à découvrir la vidéo dans laquelle mes collègues évoquent les enjeux du Big Data pour les entreprises.elle est également à la fin de ce billet) , les articles de presse, des séminaires et des propositions commerciales.  Le moteur de recherche de Google indique retrouver plus de 1 360 millions de liens en moins de 0,31 seconde.

À côté du "Big Data", il y a aussi le "Very Big Data". Le second n'est pas l'accroissement du premier ni en volume, ni en variété, ni en vitesse (pour reprendre le fameux, 3 V des aficionados du Big Data). Le Very Big Data diffère substantiellement du Big Data. Le premier est local et sa finalité est essentiellement l'efficience.  Les solutions dérivées du Big Data font la promesse d'apporter une solution la plus proche possible des besoins du client, d'un client. Vous ne recevrez donc plus de coupons sans intérêt pour vous ni d’appels téléphoniques inopinés d'un distributeur pour vous proposer un produit que vous avez déjà acheté quelques jours auparavant. Votre médecin (nutritionniste) pourra vous proposer un traitement  (un régime alimentaire) adapté à votre code génétique et il pourra l'adapter en temps réel aux réponses de votre corps... La réalité augmentée vous indiquera le restaurant du voisinage immédiat qui propose un menu conforme aux préconisations de la faculté et vous permettra de réserver votre place en un clic. Vous pourrez même partager, pour l'instant d'un repas, une table avec une personne qui apprécie les mêmes sujets de discussion que vous... (Aliénation ou bonheur ?)

Le "Very Big Data": c'est le "Big Data" appliqué (par exemple au "Big Data") mais plus généralement à n'importe quel thème. Car avec plus d'un 1 360 millions de liens sur internet il y a aussi de quoi "creuser" pour identifier, en particulier, les problématiques émergentes, les connexions, les implications du phénomène "Big Data".  Quelle entreprise est aujourd'hui est capable d'identifier, dans un univers d'informations complexe comme le web, les structures sémantiques sous-jacentes ? (Obtenir une réponse à cette question consiste probablement à étudier la liste des sociétés acquises par Google - suivre ce lien... ).

Appliqué au secteur agroalimentaire, par exemple, à l'industrie de la Viande, le Very Big Data permet d'identifier tous les thèmes associés à la production et la consommation de viande... C'est ainsi que l'on peut naviguer de viande à protéines, de protéines à insectes, d'insectes à législation, etc. Le Very Big Data permet de voir si et comment certains concepts prennent de l'importance et d'autres s'essoufflent. ... Le Very Big Data, c'est la promesse pour les entreprises de prendre la bonne direction, c'est leur  possible boussole stratégique dans la carte qui se dessine au futur !  Faut-il investir dans la production de viande synthétique ? Quelles sont les espèces animales dont le futur est prometteur et celles qui semblent condamnées sur l’autel du développement durable ?  etc. Les réponses à ces questions ne sont-elles pas déjà dans le web ?  Mais où ?
  

mardi 11 mars 2014

FoodBashing - Synthèse de l'étude Worldview (2014) du cabinet PROTÉINES

PROTEINES, cabinet de conseil au service de la communication des entreprises agroalimentaires, nous a livré, il y a quelques semaines, les résultats d'une étude (Worldview) particulièrement intéressante. La synthèse m'en a été adressée il y a quelques jours. La voici !

* *

LES VISIONS DU MONDE UN NOUVEL ECLAIRAGE SUR LA DEFIANCE ALIMENTAIRE 



Alors que depuis 15 ans les entreprises et les pouvoirs publics ont multiplié les initiatives de progrès, de la traçabilité aux chartes PNNS en passant par la création des agences sanitaires, la défiance envers l’alimentation n’a jamais été aussi forte. Il est donc probablement temps de changer de paradigme pour comprendre cette lame de fond qui touche tous les Français. C’est le point de vue de l’étude Worldview 2014 de l’agence Protéines. Interrogeant 1730 Français sur leur perception de l’alimentation, des entreprises agroalimentaires et leur vision du monde, elle propose une nouvelle façon d’observer le consommateur. Comprendre la vision du monde d’un individu, c’est comprendre le schéma de pensée à travers lequel il décode le fonctionnement du monde. C’est surtout comprendre comment communiquer et instaurer un dialogue avec ses consommateurs. 

LE DIVORCE DES ELITES AVEC L’INDUSTRIE ALIMENTAIRE 


Pour 78.7 % des Français notre alimentation est moins saine que celle de nos parents, et pour 58,8 % nos aliments seront moins sains demain. Si le constat de la défiance n’est pas nouveau, il atteint une ampleur jamais observée. Ce constat accablant conduit 77 % d’entre eux à considérer que pour faire progresser notre alimentation, nous devons retrouver nos modes de production traditionnels. Le paradoxe étant que les personnes les plus favorisées et les plus éduquées sont celles qui ont le moins confiance dans notre alimentation et dans la chaîne agroalimentaire, pourtant premier secteur économique Français. 

GREENPEACE ET ENVOYE SPECIAL FONT LA LOI 


Pour 47.2 % des Français les grandes marques ne disent pas la vérité sur notre alimentation. Mais ce constat est très variable selon la marque et le secteur d’activité, c’est ce que révèle la notation des 22 entreprises étudiées. L’étude confirme par ailleurs que nous faisons plus confiance aux individus qu’aux acteurs économiques, le médecin ou l’agriculteur restant le référent pour dire la vérité sur notre alimentation. Mais deux acteurs nouveaux émergent dans le paysage alimentaire : les ONG environnementales et les magazines d’investigation comme Envoyé spécial. Greenpeace ou WWF ont dépassé la sphère environnementale, et se sont imposés comme émetteurs crédibles, notamment chez les personnes les plus éduquées qui sont celles qui leur font le plus confiance (88 %). 


LES VISIONS DU MONDE UNE NOUVELLE APPROCHE STRUCTURANTE 

Au-delà de ces constats, l’étude nous révèle ce qui dans une vision du monde génère de la confiance ou de la défiance, ouvrant ainsi de nouvelles pistes de communication. Les personnes qui ont confiance dans les entreprises, révèlent des visions du monde très différentes de celles qui sont défiantes. A titre d’exemple, chez les premières la taille d’une marque est un élément de réassurance, alors que chez les seconds la taille est source de défiance. Pour eux, c’est le fait de bien traiter ses salariés qui fait plus de sens. Rôle de l’Etat, référence morale ou légale, confiance dans les institutions européennes ou dans la science sont autant d’éléments étudiés apportant des éclairages sur les messages de réassurance à utiliser selon les cibles. 

DES PISTES POUR DEMAIN 


Pourra-t-on sortir de cette spirale du « food bashing », dans laquelle celui qui dénigre le plus est le plus crédible ? Oui à deux conditions : identifier les vrais enjeux, et proposer des messages qui entrent en résonnance avec la vision du monde des plus défiants. En termes d’enjeux, le lien entre l’agriculture et l’industrie alimentaire apparait comme une question centrale : les risques agricoles sont les plus crains, et les Français rêvent de retrouver les modes de production d’antan. En matière de communication, il conviendra de lutter contre le « c’était mieux avant », et de montrer que les entreprises ont une vision du monde postmoderne, moins centrée sur la performance de leurs produits. 

Pour en savoir plus contacter l’agence Protéines - Thi Nhu An Pham au 01.42.12.28.36

dimanche 9 mars 2014

Sur votre Agenda - Kasher Expo les 14 et 15 mai 2014


Le mot d'Olivier PRINC, Directeur Général de Kasher Expo Paris


"« De quoi parle-t-on aujourd’hui  dans le monde de l’agro alimentaire ?

On parle de sécurité alimentaire. On parle du cheval dans son assiette alors que l’on pense manger du bœuf ! Comment en est-on arrivé là ? Le mot « traçabilité » a-t-il encore du sens ? Ne recherchons-nous pas la sécurité de ce que nous mangeons ? L’une des réponses, voire même une solution, pourrait se trouver dans des lois alimentaires datant du XIIIème siècle avant Jésus Christ : celles de la « Kasheroute ».

Kasher en Hébreu signifie propre, bon, satisfaisant. La nourriture Kasher, c’est l’alimentation autorisée par la loi Juive.  Dans certains pays, ce mot est tabou car assimilé à du communautarisme ; mais dans beaucoup d’autres et pour de nombreux consommateurs, la certification Kasher les sécurise.
Ce logo visible par le consommateur, lui assure que les ingrédients indiqués et les process de production sont respectés: Seuil de Tolérance Zéro ! Un ingrédient non autorisé, un process non respecté, une « pollution » infinitésimale, et le produit ne sera pas certifié. Et vous n’avez pas besoin d’être Juif pour manger Kasher !

Quelle certification, quel logo, peut-il vous apporter autant de sécurité ?

Un seul produit peut satisfaire, par 1 seul logo, un consommateur qui cherche de la grande qualité, celui qui mange Kasher, celui intolérant au lactose, celui recherchant un produit Bio, mais également celui qui mange Halal ! Certes, tout cela peut paraître compliqué. Il existe aujourd’hui tellement de certifications kasher différentes à travers le monde. Laquelle choisir ? Comment les identifier ? En quoi sont-elles différentes, et quelles entreprises y font appel ? 

Kasher Expo Paris est là pour vous apporter les réponses à ces questions.

Tous les acteurs de la chaîne de valeur du Kasher seront présents. Industriels, distributeurs, commerciaux, chefs de cuisine, restaurateurs, hôteliers et traiteurs. Tous échangeront et répondront aux problématiques de chacun dans le but de travailler ensemble sur un marché porteur et dynamique. Au vu du développement mondial de l’offre, du potentiel de chiffre d’affaire additionnel et de la conquête de nouveaux marchés, cette démarche de coopération doit être intégrée et systématique. Peut-on réellement ne pas s’intéresser à un marché en croissance de plus de 12% par an ? Je ne crois pas.

Et l’objectif de Kasher Expo Paris va dans ce sens: faciliter les échanges entre les acteurs à travers une rencontre annuelle forte en Europe.

Je vous attends donc nombreux pour cette première édition d’un salon plein d’avenir."

samedi 8 mars 2014

L'ESSEC lance la "chaire Edgar Morin de la complexité"


L'ESSEC lance la "chaire Edgar Morin de la complexité" le mardi 11 mars prochain à 17h au grand amphithéâtre du campus de Cergy.  
Edgar Morin, philosophe et sociologue, est le père de la pensée de la complexité en France. Il nous fait l'honneur de venir à l'ESSEC et s'associe ainsi pour la première fois à une institution académique dans le cadre de cette chaire, dont le titulaire en interne est Laurent Bibard. 
Lors de cette leçon inaugurale il nous introduira à la compréhension et la maîtrise des enjeux de la notion de complexité et de son utilité pour aborder les réalités du monde contemporain.
Entendre Edgar Morin sur la question et envisager l'avenir sur cette base est à la fois une chance et un événement majeur pour l’ESSEC. 
Nous espérons vous accueillir nombreux! 

L'éclairage au service de la lutte contre le gaspillage alimentaire

Comment réduire le gaspillage alimentaire dans les rayons des supermarchés et des hypermarchés ?

C'est à cette question que le groupe Phillips, spécialiste, entre autres, de l'éclairage, s'est intéressé. La viande coupée en tranche se décolore habituellement. Cela n'affecte en rien ni la qualité gustative ni la qualité sanitaire.  Cependant, son apparence est susceptible de réduire son attrait pour le consommateur : le produit semble moins frais ! La fraicheur est une des raisons principales d'achat d'un produit alimentaire.


Philipps a recherché à optimiser le spectre lumineux afin d'augmenter "la durée de vie en rayon". Ainsi, l'entreprise à mis au point et testé en magasin (enseigne Néerlandaise PLUS) une gamme innovante de luminaires LED ROSE FOOD. En comparaison des éclairages traditionnellement utilisés chez les distributeurs, les produits de cette gamme augmentent de 30 % environ la durée de vie en rayon.


Regarder la vidéo ci-dessous





Visiter sur le site de Phillips la page FreshFood.

Vous pouvez également Partager vos astuces pour réduire le gaspillage alimentaire avec d'autres internautes (vous pouvez déposer une astuce ou emprunter des astuces).

mardi 4 mars 2014

Science Collaborative - Luttez contre les insectes ravageurs

La science collaborative est un de mes sujets de prédilection. 

À plusieurs, on peut soulever des montagnes... 

C'est le cinquième billet de ce blog qui met en avant les résultats que des petites actions de plusieurs milliers de personnes — parfois chacune est insignifiante -- peuvent produire si elles sont accumulées. 

Aujourd'hui, mon attention a été attirée par une application développée par l'INRA de Bordeaux Aquitaine pour mieux lutter, dans un premier temps, contre deux insectes ravageurs (le frelon asiatique et la chenille processionnaire du pin).

Frelon Asiatique
Source Francis ITHURBURU
Nid de Chenille processionnaire du Pin
Source : Wikipedia




Je vous laisse découvrir une vidéo qui présente le dispositif.


<a title="Science participative : ITW de Jean-Marc Armand, Unité AGIIR Inra Bordeaux-Aquitaine stand Inra SIA 2014" href="https://inra-dam-front-pad.brainsonic.com/science-participative-itw-de-jean-marc-armand-unite-agiir-inra-bordeaux-aquitaine-stand-inra-sia-2014-video-251821.html"><img alt="Science participative : ITW de Jean-Marc Armand, Unité AGIIR Inra Bordeaux-Aquitaine stand Inra SIA 2014" src="https://lh3.googleusercontent.com/blogger_img_proxy/AEn0k_vZ1-QUzHTn9NXN_wNSk3NcYqSt2pitTZZrfxTdRUUkLncFZgD2_LBDyobMqOqMMJfcqYhVlo6BFv33mNjiroBVbDBxDWs588BAOZi7zJnvfZzNAGnRUXWIM0WNkJI3mbHV4QHuTE4CimNpbqL5SjWKImezFg_NNC7rT85PLbPyPQqVLadHEt8vC7MRBPq95zJADak4-SwFNi0iBdCunPVkoCAqtWZlLx2NXZYgdmKdSVP5kEAogzVzhHUms1fXd2Hu8WnissRcVCFlMoxHYz8RdoY8UZAyH_rFDgaIdAM=s0-d"></a><a title="Science participative : ITW de Jean-Marc Armand, Unité AGIIR Inra Bordeaux-Aquitaine stand Inra SIA 2014" href="https://inra-dam-front-pad.brainsonic.com/science-participative-itw-de-jean-marc-armand-unite-agiir-inra-bordeaux-aquitaine-stand-inra-sia-2014-video-251821.html"><h2> Science participative : ITW de Jean-Marc Armand, Unité AGIIR Inra Bordeaux-Aquitaine stand Inra SIA 2014</h2> </a><p> <a href="https://inra-dam-front-pad.brainsonic.com/nom-science-participative.html">SCIENCE PARTICIPATIVE</a> : ITW de Jean-Marc Armand, Unité <a href="https://inra-dam-front-pad.brainsonic.com/nom-agiir.html">Agiir</a> Inra Bordeaux-Aquitaine stand Inra <a href="https://inra-dam-front-pad.brainsonic.com/nom-sia.html">SIA</a> 2014<br /><br />Stand Inra au <a href="https://inra-dam-front-pad.brainsonic.com/nom-sia.html">SIA</a> 2014</p>



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