
L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) met en évidence une diminution de l'apport de sel dans l'alimentation depuis 2003 (de l'ordre de 4% à 10% par rapport au teneur de 2002), mais l'agence considère que cette diminution reste insuffisante (20% attendu). La consommation de sel, mesurée par ailleurs dans des enquêtes épidémiologiques, est elle estimée à 5%. C'est deux résultats sont cohérents.
La surconsommation de sel, c'est à dire au-delà de 8g/jour pour un homme adulte et 8,5g/jour pour une femme adulte et les enfants, est un facteur de risque de maladies dont les maladies cardiovasculaires.
Documents:
Avis de l'ANSES du 15 octobre 2012 sur le sel
Dossier Sel de l'ANSES
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