Affichage des articles dont le libellé est fruits. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est fruits. Afficher tous les articles

dimanche 1 juin 2014

Fruits et légumes - Dans tous les états !

Les publicités et oeuvres artistiques fleurissent dans l'univers des fruits et des légumes. Une bonne dose d'humour pour mettre en avant les stars du printemps et de l'été.

1. Christel Jeanne - Les fruits de mon imagination 1 et 2
Si vous passez à proximité du Village de Bercy à Paris, vous pourrez admirer les photographies Christel Jeanne (les fruits de mon imagination). Vous pouvez également les découvrir sur son site internet (lien vers le site de Christel Jeanne): Humour, Séduction, Surprise, etc.

2. La campagne de lutte contre le gaspillage alimentaire du gouvernement.








3. Les publicités pour les Artichauts Prince de Bretagne





















4. Les affiches des Gueules Cassées.
























5. Les 5 fruits et légumes moches d'Intermarché




6. Positive Eating Positive Living

J'aime aussi :


vendredi 20 décembre 2013

Le Neuromarketing et la Santé

Vous trouverez ici un lien vers un article Quartier Libre du Journal des Grandes Ecoles et des Universités sur le lien entre le Neuromarketing et la Santé.

J'évoque dans cet article le IAT (Implicit Attitude Test) : lien vers le projet Implicit d'Harvard.

lundi 25 février 2013

Fruits: l'occasion fait le larron....

Il y a des années que j'ai fait mien ce dicton lorsqu'il s'agit de faciliter la consommation des fruits par les jeunes enfants. Lors de recherches sur les jeunes et la consommation de fruits, j'avais été confronté à un paradoxe : les jeunes aiment souvent les fruits, mais ils en consomment peu. Mais ce paradoxe est bien facile à expliquer : les fruits et les jeunes ne fréquentent pas toujours les mêmes lieux ! Si l'occasion ne se présente pas, alors point de larron. 

Plusieurs recherches montrent qu'il n'est pas difficile d'augmenter la consommation des fruits par les enfants dans les cantines.  Uniquement quelques petites modifications sont nécessaires.  C'est, par exemple, ce que Andrew S. Hank et ses collègues de centre de recherche comportementale de Cornell ont réalisé. En moins de 3 heures et pour moins de 50 $, ils ont changé la manière de présenter les fruits dans les cantines de deux écoles primaires (à proximité des caisses, dans des compotiers au design agréable, etc.) et de les mettre en avant par l'intermédiaire de messages incitant de manière subtile à la consommation (« Avez-vous envie d'essayer une pomme ? »). La consommation des fruits et des légumes a augmenté respectivement de 18 % et de 25 % avec les nouveaux arrangements. 

Ces types de changements sont des applications du principe qualifié, en science du comportement,  de «paternalisme libertaire». Il s'agit d'influencer favorablement les bons choix par le biais d'indices, tout en préservant la liberté de choix.

Il faut souvent peu de choses pour changer le monde !      

mardi 29 janvier 2013

PsychoFood 3 - La pêche ça donne la pêche !

Une manière d'explorer l'alimentation, de la fourche à la fourchette, c'est de s'interroger sur la relation entre psychologie et alimentation. J'ai l'intuition qu'il y là de belles découvertes à partager. Ce troisième billet de la série met en relation le régime alimentaire et les émotions.

Manger plus de fruits et légumes peut rendre les jeunes plus calmes, plus heureux et plus énergiques dans leur vie quotidienne. Ce sont les résultats d'une nouvelle étude de l'Université d'Otago, en Nouvelle Zélande. Le Dr Conner Tamlin, chercheur dans le département de psychologie, et le Dr Caroline Horwath et Bonnie White du département de nutrition humaine, ont étudié quotidiennement la relation entre les émotions et de la consommation alimentaire. L'étude est publiée dans le British Journal of Health Psychology.

Un total de 281 jeunes adultes (avec un âge moyen de 20 ans) ont complété un journal alimentaire sur Internet  pendant 21 jours consécutifs. Les participants ont également rempli un questionnaire donnant des détails sur leur âge, leur sexe, leur ethnie, leur poids et leur taille. Ceux avec un trouble de l'alimentation ont été exclus. Tous les soirs les participants indiquaient comment ils se sentaient en utilisant neuf adjectifs positifs ou neuf adjectifs négatifs. Les participants ont été invités à indiquer le nombre de portions consommées de fruits (sauf jus de fruits et fruits secs), les légumes (sauf les jus de fruits), et plusieurs catégories d'aliments malsains comme les biscuits / biscuits, chips et gâteaux / muffins. Les résultats ont montré une forte relation entre l'humeur (positive) et la consommation de fruits et de légumes, mais de relation avec la consommation des autres aliments.

«Les jours où les gens mangeaient plus de fruits et légumes, ils ont déclaré se sentir plus calme, plus heureux et plus énergiques que d'habitude", a déclaré le Dr Conner.

Pour tenter de comprendre s'il existe une mécanisme de cause et affet, le Dr Conner et son équipe effectué des analyses supplémentaires. Elle a constaté que la consommation de fruits et légumes prédit l'amélioration de l'humeur positive le lendemain, ce qui suggère que les aliments sains peuvent améliorer l'humeur. Ces conclusions sont indépendante de l'IMC des individus.

"Après une analyse approfondie, nous avons démontré que les jeunes ont besoin de consommer environ sept à huit portions totales de fruits et légumes par jour afin de remarquer un changement positif significatif. (Une portion de fruits ou de légumes est d'environ une demi-tasse)."  explique le Dr Conner.

Elle ajoute que, bien que cette recherche montre un lien prometteur entre des aliments sains et des ambiances saines, des recherches supplémentaires sont nécessaires et les auteurs recommandent le développement d'essais contrôlés randomisés évaluant l'influence de la forte teneur en fruits et légumes sur l'humeur et le bien-être. 

Pour plus d'informations, sur cette étude contactez:

Dr Conner Tamlin
Département de psychologie de l'Université d'Otago
Tel 03 479 7624
Mob 021 984 332
E-mail tconner@psy.otago.ac.nz

mercredi 29 août 2012

Observatoires des prix de Familles Rurales


Il y a quelques jours, je montrais que dans le cadre du recensement de la flore commune française organisé par les chercheurs du Muséum National d'Histoire Naturelle les petites rivières font les grands fleuves. Le recensement ne pourrait pas se faire sans l'implication de centaines de botanistes amateurs qui quelques jours par an apportaient le précieux concours à cette initiative. L'effet Google !



C'est aussi le cas de l'observatoire des prix de Familles Rurales. Cette association a créé en 2005 son propre observatoire des prix « afin de s'approcher au mieux de la réalité quotidienne des familles du milieu rural ». Ainsi plus de quarante bénévoles issus d'une vingtaine de départements effectuent des relevés de prix de 35 produits de consommation courante dans les commerces pour lesquels ils relèvent les prix de quatre types de produits : marque nationale, marque de distributeur, premier prix, prix hard discount. Familles Rurales est le premier mouvement familial de France avec 3000 associations locales et 180 000 familles.



À ce premier observatoire, Familles Rurales a ajouté en période estivale (juillet et août) un observatoire des prix des fruits et des légumes. Il fonctionne de la même manière que le premier, mais il prend en considération les prix de sept fruits et de huit légumes. Cet été, 76 personnes ont participé à la collecte des prix des fruits et des légumes dans 37 départements.



Les résultats sont publiés en exclusivité dans le journal La Croix d'aujourd'hui. Mais Familles rurales donne quelques indications sur son site internet. Elles sont reprises ci-dessous.


Les relevés "mettent en évidence :


  • Après une baisse des prix des fruits et légumes en 2011, cette année ils augmentent: + 3% pour les fruits et + 5 % pour les légumes.
  • Les produits les moins chers du panel sont pour moitié d’origine France et pour l’autre d’origine étrangère.
  • C’est sur les marchés que les produits sont les plus chers, et les hard-discounts les moins chers.
  • Les produits bio sont plus chers que les conventionnels (62% plus chers pour les fruits bio et 75% pour les légumes bio) mais un écart qui se resserre (85 % pour 2011).

  • Comme chaque année, une baisse des prix entre les relevés effectués en juin et juillet : - 2.4%pour les fruits, - 6.6% pour les légumes.
Alors que la consommation de fruits et légumes diminue depuis quelques années en France, Familles Rurales encourage le consommateur à manger des fruits et légumes frais, achetés localement."

A l'évidence on peut, à plusieurs, déplacer des montagnes. Cette initiative, comme Vigie-flore, le démontre. 
  

vendredi 23 septembre 2011

Intoxications - de l'animal au végétal !

Il suffit de relire un vieux manuel de sécurité alimentaire pour se rendre compte de l'importance croissante des infections alimentaires incriminant des fruits, des légumes ou des graines germées. Par exemple, au Colorado des melons sont incriminés dans une toxi-infection alimentaire à la listeria (vidéo - ci-après). En cas de suspicion d'une intoxication alimentaire à la listeria, un questionnaire alimentaire est "administré" aux patients. Ce questionnaire contenait très récemment une liste avec 76 items groupés en 4 catégories. Il concentrait les recherches des épidémiologistes vers les sources les plus probables. En voici la liste :
  1. produits de la pêche (7 items) : produits à base de poisson, poisson fumé, crevettes et coquillages ;
  2. produits végétaux (3 items) : salades et crudités emballées, prêtes à l’emploi et germes de soja ;
  3. produits laitiers (34 items) : 33 fromages et lait cru ;
  4. charcuterie et produits carnés (32 items) : pâté, rillettes, jambon, saucisses, produits en gelée, produits à base de volaille...
Quelles sont les origines possibles d'un tel changement ? Les spécialistes évoquent une possible contamination croisée des produits végétaux, essentiellement par l'épandage dans les champs de fumiers frais ou de boues insuffisamment traitées. À partir de ses sources, l'eau et le vent peuvent servir de relais pour véhiculer les bactéries vers d'autres plantations.

Ces faits doivent nous inciter à redoubler de vigilance dans la préparation des légumes ou de fruits. En ce qui concerne les graines (que l'on fait germer chez soi), des fissures dans la cuticule pourrait abriter les germes. L'agence de santé et des services sociaux de Montréal (Québec) suggère d'éviter la consommation des germes de luzerne.

Les carnets du blog les plus consultés

Membres